Société : Pouvons-nous
vivre ensemble malgré nos différences religieuses ?
De Philo
& co
Nos
passions, reflet de notre personnalité ?
Gatsby le Magnifique : Film bien plus profond qu'il n'y
paraît
Anniversaire,
synonyme de fête ou de deuil ?
Les Passions
On ne
décide pas d’être passionné, on « tombe amoureux », métaphore d’une
chute vécue plutôt comme un envol. L’étymologie révèle cette passivité du sujet
qui subit un état lié à une souffrance, un bouleversement de son affectivité,
de sa pensée et de ses actes.
Paradoxalement
ce caractère involontaire peut-être vécu comme le signe d’une élection
c'est-à-dire touché par le destin, le passionné se singularise. Sa passion
s’offre comme une vocation. Tout peut tourner autour de celle-ci. L’addiction
n’est plus un état de plaisir mais un état de souffrance ou de dépendance que
l’on nomme conformément à l’étymologie du terme la passion, comme dans l’œuvre
de Racine « Phèdre ». La passion amoureuse de Phèdre pour Hyppolite
lui fait perdre ses moyens, lui fait perdre l’essentiel, lui fait oublier que
Thésée puisse revenir, lui fait oublier l’amour qu’elle a pour Thésée, mais lui
fait perdre Thésée une fois revenu. Hyppolite doit porter la faute et se fait
exiler à cause d’elle, cela la remplit de culpabilité, et finalement la pousse
à se tuer. C’est cette passion qui construit le nœud tragique de la pièce. Si
Phèdre n’était pas passionnément désireuse de son beau fils, rien de tous les
événements tragiques de la pièce n’aurait eu lieux. La passion a pris le
dessus.
De notre
coté nos passions sont un moyens de nous retrouver de nous sentir nous même.
Nous avons tous des goûts, des envies, des pulsions, des passions différentes.
C’est ce qui nous caractérise, nous forge, mais est-ce pour autant un bon reflet
de notre personnalité ?
Nous
laissons libre cours à nos désirs, les passions viennent, le sport, l’art, la
musique, le chant, la danse. On se réfugie dans ses passions, on se défoule on
s’exprime, on fait passer un message et on fait cela car on apprécie de le
faire. Pour d’autres les passions sont des refuges, des échappatoires quand
rien ne va, cela permet de nous retrouver nous même, de mettre les points sur
certaines choses, on s’écoute nous-mêmes. Exprimer nos pensées, nos envies,
notre façon de voir les choses devient de plus en plus difficile, mais les
passions nous permettent de nous libérer, d'extérioriser, nous essayons de
dégager une émotion. Elles nous permettent de savoir qui nous sommes.
Une année de plus à notre âge est une année de moins à notre
vie, l'anniversaire est-il alors fête ou deuil ?
365 jours
de plus. Parfois - c'est-à-dire une fois tous les 4 ans – 366 jours de plus.
Une fois par an, nous fêtons ce gain. Cette année solaire de plus gagnée. Nous
fêtons notre anniversaire. Nous recevons des cadeaux ou du moins des personnes
nous le souhaitent. Nous mangeons du gâteau en organisant une petite fête.
Parce qu'un an de plus ça se fête non ?
Depuis
des millénaires l'homme comptabilise sa vie. Les dix chiffres 0, 1, 2, 3, 4, 5,
6, 7, 8, 9 que nous utilisons tous aujourd'hui, sont appelés chiffres arabes
même s'ils ont été inventés en Inde au 3e siècle av. J.-C, puis empruntés par
la civilisation arabo-musulmane à partir du IXe siècle et décrits dans un
ouvrage d’Al-Khawarizmi, puis introduits en Europe par les Arabes au 10e
siècle. Tout cela pour dire que 'l’homme a inventé des chiffres. L'homme aime
mettre des chiffres sur tout, mesurer ses inventions, compter le nombre de
lettres dans les mots qu'il imagine. Il aime mettre des chiffres sur tout
autant qu'il aime mettre des mots sur tout. Peut être fait-il cela pour rendre
ce qu'il nomme ou compte plus réel.
Mais même
en ayant tous les mêmes chiffres, nous ne comptabilisons pas le vie de la même
manière. Du moins au niveau des religions. En effet, dans quelques jours, pour
les chrétiens nous serons en 2016 ; pour les musulmans nous serons en
1437 ; pour les juifs nous seront en 5777. Nous ne fêtons également pas
tous notre anniversaire : dans la religion musulmane et juive cela est vu
comme un pêché. Mais une majorité d'entre nous le fête.
Nous fêtons
notre anniversaire car nous gagnons un an dans notre vie. Pour les plus jeunes
ces années gagnées sont synonyme de maturité. Nous nous rapprochons peu à peu
de la majorité et voulons avoir accès aux avantages de cette majorité. Nous
voulons parfois être plus libres, plus indépendants. Nous sommes mieux vu par
la société. Être majeur est synonyme d'accomplissement. Nous avançons dans
notre vie. Nous nous construisons et nous donnons du sens à notre vie.
Mais nous
perdons également un an lors de cette fête. En effet nous nous rapprochons vers
ce que nous nommons vieillesse. Nous nous rapprochons de notre mort. Pour
certaines personnes ces années gagnées sont alors synonyme d’échec. Si à 30-35
ans nous n'avons pas d'enfants ou que nous sommes un « Tanguy » alors
nous n'avons pas réussi dans notre vie sociale, nous sommes mal vu. Plus les
années passent plus nous n'avons tendance qu'a fêter nos dizaines ou nos
quintaines. Nous y accordons moins d’intérêt à cet anniversaire. Nous avons
peur de vieillir, peur de mourir. C'est un fait l'homme a peur de mourir.
L'homme n'accepte pas sa mortalité. Nous nous dirigeons vers notre mort à
chacune de ces fêtes et pourtant nous continuons à chercher un sens à notre
vie. Nous cherchons un sens à quelque chose qui s'arrêtera un jour. Nous ne
sommes en rien immortel. Nous augmentons pourtant notre espérance de vie grâce
à des recherches sur les différentes maladies qui nous font tomber, nous
tentons de trouver une solution à cette mortalité.
Nous
aimerions être jeune toute notre vie tout en vieillissant. Car vieillir est
synonyme d'une existence longue où nous avons pu accomplir des choses.
Lorsqu'un jeune meurt nous entendons souvent « il n'a pas eu le temps de
vivre ». Car oui vieillir c'est vivre. Donc nous fêtons cette vieillesse,
cette vie.
Ne
vaut-il donc pas mieux fêter notre anniversaire, fêter cette vie, fêter ce
bonheur qu'elle peut nous apporter. Or pourquoi vivre si ce n'est pour accéder
au bonheur ? Ce sentiment permet de donner un sens à cette existence,
certes fini, mais durant de plus en plus longtemps. Nous avons donc plus de
temps pour être heureux alors fêtons-le !
THE GREAT GATSBY
Je
tiens à préciser avant de débuter cet article que celui-ci n’a pas pour but de
prendre part pour quelconque opinion. Il a plus une visée didactique et invite
le lecteur à se poser des questions, que je trouve fondamentales sur la
condition humaine.
L’homme
est un être avare et plein d’amour propre. Il est sans cesse en quête de
perfection. Mais finalement qu’elle est-elle ? Depuis que les humains vivent en
communauté désirs et jalousie s’instaurent. Certaines personnes sont moins
confiantes et plus réservées que d’autres, c’est pourquoi les plus vicieux en
profitent. Tout ce qui est synonyme de propriété est également synonyme de
jalousie. L’appât du gain est plus fort que tout. Le film Gatsby le Magnifique
est un très bon exemple. Incarné par Leonardo DiCaprio, ce personnage aux
multiples facettes réserve bien des surprises. Il est très intriguant et
représente vraiment la complexité de l’homme. Mais qu’est-ce que la société ?
Pourquoi faut-il lui plaire ? La richesse et le pouvoir sont les maîtres mots
de notre modèle social, mais dans quel but ? Ce film représentant le modèle des
années 1920, modèle où tous les excès sont possibles, montre à quel point la
débauche et l’argent ne sont que façades. Ce blockbuster nous offre quelque
chose de poignant mais qui relate tout à fait le comportement actuel des
sociétés, qui est vraiment regrettable selon moi. Société déplorable qui laisse
derrière elle un arrière goût amer. Si Gatsby semble plein d’assurance et
heureux, l’incroyable propriété dans laquelle résident paillettes et champagne,
où l’argent coule à flot, dissimulent chez lui un mal-être profond : celui
d’avoir perdu la femme de sa vie. De plus, un tissu de mensonges concernant sa
vie passée le hante chaque jour.
Homme
d’ambitions, ne supportant ni l’échec, ni sa condition misérable et se
considérant comme le fils de Dieu, il quitte sa famille à l’aube de son 16ème
printemps afin de se lancer dans « sa quête » du bonheur. Les personnes
insouciantes trouvent facilement le lien entre bonheur et richesse. Mais
comment être heureux ? Beaucoup disent que l’argent ne fait pas le bonheur, or
ce n’est pas ce que croit Jay Gatsby. Sa jeunesse et sa robustesse le
conduisent à partir défendre sa patrie à la guerre. Cependant il entretient en
parallèle une relation frivole et pleine de légèreté avec Daisy Fay, « l’amour
de sa vie ». A l’époque il n’était peut être pas riche d’argent, mais riche de
sentiments et d’amour, il était heureux. Malheureusement à son retour de la
guerre, la jeune Daisy en était toute autre et avait épousé un ancien joueur de
polo devenu milliardaire, Tom Buchanan. En effet, la promesse qu’elle avait tenue
d’attendre Gatsby était vaine, le besoin de ne pas plonger dans la solitude a
été plus fort que le reste. L’amour est-il quelque chose d’aussi fort que l’on
pense ? Là est une question essentielle…
Pour
reconquérir Daisy, Jay est prêt à tout, c’est pourquoi il se lance dans des
affaires florissantes (illégales certes, mais elles sont la promesse d’un
avenir meilleur) afin d’acquérir biens et propriété dignes des contes de fées.
Son but ? Y organiser des soirées plus prestigieuses les unes que les autres et
y inviter tout New-York afin de retrouver l’élue de son cœur. Nous comprenons
bien ici qu’un homme peut être prêt à faire n’importe quoi pour revivre le
passé et c’est notamment l’une des clés de cette passionnante intrigue. Le
souhait le plus cher de cet homme fortuné ? Revivre le passé, cependant tout le
monde sait pertinemment que nous ne pouvons pas retourner en arrière. La vie
est une roue géante, une horloge, qui instaure un cycle, celle-ci est
programmée à l’heure de naissance et de mort de chacun d’entre nous.
Malheureusement ces aiguilles ne tournent que dans un seul sens : celui du
temps qui passe, s’écoule et laisse derrière lui un monde impitoyable. En
effet, une action terminée n’a plus d’avenir. Les gens changent, évoluent, le
passé les forge mais connaît un fort déclin face à l’attraction qu’apportent le
destin et le futur, synonymes d’inconnu. Pourquoi l’homme se pose-t-il autant
de questions ? Comment ce lien entre pouvoir et bonheur s’est-il crée ? Selon
moi, depuis des siècles l’argent permet de tout acheter (enfin « tout » est
relatif..). Cependant le passé ne se monnaie pas, il se vit pleinement. Même si
dans le film un rapprochement certain s’effectue entre madame Buchanan et
monsieur Gatsby, celle-ci ne sait pas sur quel pied danser. Elle reste avec son
mari certes, mais aime occuper le statut de maîtresse de Jay. Notre culture
nous a appris que Dieu ne concevait un seul et unique mode de fonctionnement :
la fidélité. L’exemple d’Adam et Eve montre qu’une femme ne peut être promise qu’à
un seul homme. Mais finalement l’être humain est tellement complexe et
imprévisible ! Aimer pour souffrir ? Belle conception de la vie. Tant d’espoirs
infondés pour tenter d’accéder à une forme de bonheur illusoire. Je pense
qu’une seule question persiste dans toutes les têtes : « Pourquoi ? »
Même si
le conscient de l’homme a ses limites, sa lucidité n’a d’égal que de sa bêtise
et celui-ci le pousse à se poser énormément de questions. Trop de questions
tuent la question. Elles nous pourrissent la vie et ne nous permettent pas de
profiter pleinement de celle-ci. Comme je l’ai dit précédemment, jalousie et
richesse sont nocifs et participent généralement aux fondements de la
manipulation. D’ailleurs un extrait du film le montre bien : lorsque Daisy et Jay
ont un accident de voiture ; et pour cause une femme a surgit de n’importe où
sur la route. Cette pauvresse est morte sur le coup et tout le monde voyait
monsieur Gatsby en horreur : un assassin sans cœur. Cependant personne se
doutait que le conducteur était en fait une conductrice, plus connue sous le
nom de Daisy Buchanan. La jeune femme ne s’en est évidemment pas vanté.
Malheureusement Gatsby a du faire face aux représailles de la part du mari de
la victime, et succomba à une blessure par balle. A cet instant précis, madame
Buchanan retourna gentiment auprès de son mari, comme si rien ne s’était passé.
A son enterrement ? Personne. Seul son plus fidèle allié, Nick Carraway, le
cousin de Daisy. Pas même une fleur fût offerte par celle-ci, tous les gens qui
avaient profité de son hospitalité lors de ses soirées prestigieuses l’avaient
oublié, effacé et souillé. A quoi cela sert-il ? Pourquoi l’homme peut-il
manipuler et l’être en retour ? L’être humain est censé ressentir des choses,
des émotions. Or ici, même si Daisy Buchanan prétendait être amoureuse de
Gatsby, elle n’a finalement fait qu’user de lui lorsque tout allait bien, comme
les autres. Le moindre problème fait fuir…
Ce
comportement est très représentatif de la société actuelle selon moi. Les gens
ont peur de tout et de rien, se précipitent là où les intérêts les mènent, or à
la moindre perturbation, au moindre nuage au dessus de leur tête, ils baissent
les bras et abandonnent. Et si, en plus d’être complexe, l’homme était aussi un
lâche et un égoïste ?A vous de me le dire…
Religions, facteur d'exclusion ou
d'intégration ?
Judaïsme,
bouddhisme, islam, christianisme.. il existe beaucoup de religions avec
différentes traditions.
Je me suis toujours posé la question de savoir si oui ou non il
est possible de vivre ensemble avec des religions et des traditions
différentes? Si nous prenons l'exemple d'une famille recomposée, de nos jours.
Un homme avec deux enfants et chrétien et une femme avec 3 enfants et
musulmane. Ces deux religions sont-elles compatibles? Oui et non. Du moment que
où les personnes s'autorisent à pratiquer leur religion librement, sans
empêchement. C'est à doré respecter les fêtes religieuses, les heures de prières
et d'autres traditions. Il peut effectivement y avoir une compatibilité. Mais
pour ma part il y aura toujours des choses qui nuiront à cette compatibilité.
Le fait de se radicalise, par exemple, peut être un problème majeur. Le fait de
se radicaliser par la femme, la pousserait à faire des choses regrettables au
couple. Suite à cette radicalisation m'a femme n'autorisera plus ce qu'elle
autorisait auparavant. Comme le fait de ne plus partager les fêtes religieuses
chrétiennes ensemble. Je parles plus précisément de noël, une fête qui a
toujours eu lieu chez eux auparavant, mais suite à cet événement la femme ne
veut plus rien entendre sur ceci. C'est même devenu un facteur de dispute. Il y
a plein de facteurs qui pourraient prouver l'incompatibilité du couple.
Un
autre exemple, le fait de se marier avec un musulman sera le facteur principal.
Pour ma part il y a plus de facteurs d'exclusion que d'intégration. On peut
aussi parler du discours du guide suprême iranien, Ali Khamenei, qui dans
celui-ci réagit aux attentats du 13 novembre à Paris. Dans cette lettre il
critique avant tout l'occident qui es sait d'imposer leur "culture" à
l'étranger, que le guide suprême qualifie de violente et débauché moralement.
Selon lui les français sont les premiers responsables de la souffrance des
peuples musulmans, mais aussi des attentats de Paris. Tous les attentats
terroristes seraient une vengeance des personnes qui ont été exclus de la
société par la culture et suite aux inégalités. Si l'on regarde bien les
kamikazes de Paris étaient tous des individus originaires d'Europe et qui ont
été rejetés par la société. Ils étaient au chômage, sans avenir concret. Pour
ma part la religion est plus un facteur d'exclusion dans un couple, dans la vie
de tous les jours..
LE CANARD
PHILOSOPHIQUE
PHILOSOPHIQUE
Le Père
Noël
est-il une
ordure ?
Noël est-il une fête magique ou commerçante?
Le
mythe du père noël, un mythe raconter aux enfants et entretenu par les parents
depuis des années. Lorsque nous pensons à noël nous pensons aux repas de
famille, au sapin et surtout aux CADEAUX. Mais quelle est la réalité derrière
ce rêve ?
Tout
d’abord, remontons à l’origine de noël: la saint Nicolas. Au départ, la saint
Nicolas était une fête chrétienne avec un personnage représenté avec une barbe
et un costume d’évêque verte qui venait déposer des friandises dans les
chaussures le soir. Il a été modifié d’après la croyance populaire, par le
leader mondial coca cola pour sa publicité. Ses caractéristiques actuelles sont
une veste rouge, une barbe et un gros ventre. Mais peu importe l’apparence, a
partir de ce moment-là, nous pouvons nous demander si cette fête à l’origine
religieuse n’a pas dériver dans le commercial puisque cette fête est devenu par
la suite très peu religieuse. De nos jours, tout le monde fête noël qu’on soit
chrétien ou non. C’est pour cela que le mois de décembre est synonyme de
publicités répété et de bousculades dans les magasins pour acheter LE cadeau
qui fera plaisir. De nos jours, il n’y a pas seulement les chrétiens qui fêtent
noël. Noël est une fête ou le coté religieux n’est plus souvent là.
Acheter
le cadeau dans un magasin parait normal et parait également comme un geste
inoffensif, mais si nous regardons la provenance des articles de noël les plus
populaires, les petits lutins n’habiteraient pas au pôle nord mais plutôt en
Asie. Dans le temps, nous pouvions offrir une clémentine ou un objet fabriquer
nous même à nos proches : c’est le geste qui compte disait on (comprenez «ça ne
me plais pas … mais je t’en veux pas»). Le but était de faire plaisir,
forcément, mais quoi qu’on en dise le but principal de cette fête était de se
retrouver en famille ou entre amis et de passer un bon moment, le plaisir de
partager. De nos jours, si nous n’achetons pas LE téléphone tendance ou autre,
cette fête en serait presque gâchée.
Nous avons beau dire que les grandes marques
profitent de noël pour se faire beaucoup d’argent, de nos jours nous ne pouvons
plus nous en passer pour offrir nos cadeaux. Noël est alors une fête commerciale
pour les cadeaux, mais pas seulement. Noël est également une occasion
incontournable pour les industries alimentaires de se faire beaucoup d’argent
puisque pendant cette période, nous nous autorisons tous les excès que ce soit
en quantité ou en qualité. Mais pour avoir une nourriture de qualité, nous
maltraitons et gavons des canards pour pouvoir manger un bon foie gras a noël,
nous faisons grossir des dindes toute l’année pour en avoir des grosses à
manger et je ne vous parle même pas de ses pauvres huitres qui rendent leurs
derniers souffle sous le creux de notre dent.
Mais
noël profite également aux petits commerçants, sans noël certains seraient
ruiner et n’auraient pas le bonheur de profiter des fêtes de noël. Donc
certains profitent de cette fête mais pour d’autre, cet afflux de personne dans
leur petit commerce leurs permet d’avoir tout de même de l’argent indispensable
pour, sois eux même profiter de ce moment magique sois pour simplement ne pas
fermer leur commerce. Mais malgré tout noël reste une fête magique même si elle
a perdu tout son sens religieux. C’est un moment de partage ou l’on reçoit et
donne aux autres où l’on prend le temps de vivre et nous ne pensons plus aux
problèmes de la vie quotidienne. Ces abus paraissent mineurs faces à la joie
auxquelles nous nous attendons.
LEGROS Mélanie
Est-ce vraiment utile de mentir
aux enfants pour l’histoire d’un vieux barbu déposant nos
cadeaux ?
L'histoire du père noël qui passe par la
cheminée pour nous déposer des cadeaux est, certes, issue d’une tradition
culturelle mais cela reste une histoire. Toute notre enfance a été bercée dans
un tissu de mensonge.
Dès lors où l’on nous avoue que le père noël n’existe
pas, tout le mythe s’effondre, toute la magie s’éteint. Quelle était l’utilité
de nous mentir pendant plus de 5 ans si nous devons subir une telle déception
après.
De plus, il est dur de réaliser que nos parents qui
sont nos modèles, nous mentent. Durant toute notre enfance, nos parents nous
rabâchent de ne pas mentir alors qu’eux ne font que ça. Un enfant doit pouvoir
se confier à ses parents et avoir une confiance aveugle en eux, or cette
relation de confiance devient difficile lorsqu’on découvre l’énormité de ce
mensonge.
En effet, cette histoire de père noël est
internationale et avec elle, le mensonge. Dans les pays occidentaux et
d’origine chrétienne, tous les parents font croire à leurs enfants que le père
noël existe mais pas seulement ! Dans toutes les écoles, on participe à
cette supercherie. Le système éducatif est pourtant, au même rang que les
parents, sensé apprendre que l’on ne doit pas mentir. Pour citer une histoire
vraie, une petite fille venant d’apprendre que le père noël n’était qu’un
mythe, l’a expliqué à tous ses camarades de classe. L’institutrice l’a punit et
lui a donné des lignes à copier « Je ne raconte pas des bêtises, le père noël
existe ! » Quand elle est rentrée chez elle, elle a dit à ses parents « puisque
c’est ça, je ne dirais plus jamais la vérité »
A l’âge où l’on découvre que tout n’était que des
histoires, on ne peut pas encore comprendre pourquoi on ne doit pas le répéter,
on ne voit pas pourquoi il serait mal de dire la vérité et pourquoi tout le
monde est complice de ce mensonge. De nos jours, il serait immoral de dire à la
télévision ou même dans la rue que le père noël n’existe pas. Pourquoi est-ce
devenue si mal de dire la vérité?
On peut tout de même relativiser, ce n’est pas
réellement un mensonge au sens où les enfants ont leurs cadeaux et cela découle
d’une tradition où «l’ancien du village» distribuait des jouets aux enfants
sages. De plus, cela ajoute de la magie et du rêve. Quand on était enfant, et
toujours maintenant, on a tendance à préférer la magie de noël et son ambiance
festive plutôt que notre simple anniversaire qui est pourtant baser sur le même
principe de recevoir des cadeaux. Malgré le mensonge, noël reste une fête
magique qui enseigne la générosité et le plaisir de partager. Cela développe
l’imagination des enfants tout en les intéressants à une tradition de notre
culture. Finalement, les conflits liés au mensonge de noël sont amplement
compenser par tout le souvenir d’enfance de cette fête magique et pleine de
rêve, l’attente et la joie de découvrir des surprises au pied d’un sapin
lumineux.
Qu’ils soient apportés par un vieil homme en rouge
sur un traineau tiré par des rênes volants avec les petits lutins ou simplement
par nos parents, les cadeaux et cette fête reste pleine de rêve et de joie.
DUCHÊNE Célia.
Interview d'un lutin
asiatique.
Dans le
cadre de notre numéro spécial noël nous avons une interview exclusive d'un
employé de l'entreprise Père Nono, Xi Young. Il va nous raconter ces conditions
de vie et de travail au sein de cette entreprise.
-Bonjour
Mr Xi Young, pourriez vous vous
présenter a nos lecteurs ?
⁃ -Bonjour, alors comme vous l'avez dit je m'appelle Xi
Young, je suis un lutin qui travaille dans l'entreprise Père Nono depuis mon
plus jeune âge. J'ai intégré l'entreprise a l'age de ans. J'ai commencé au
stand des Playmobil mais comme je travaillais assez vite j'ai eu une
augmentation et je suis passé au stand de l'assemblage des Barbies.
⁃ -Pourriez vous nous raconter vos conditions de
travail ?
⁃ -Eh bien l'entreprise ce trouvais au pole nord mais
ensuite nous avons délocalisé, le Père Noël trouvais que c’était une bonne idée
de ne plus devoir payer le chauffage. Et lorsque nous n'allons pas assez vite
Rudolph le renne au nez rouge, qui d'ailleurs n'as le nez rouge que parce qu'il
est un alcoolique finis, nous faisait avancer a coup de fouet magique.
⁃ -Et vous gagniez combien ?
⁃ -Il nous payait a coup de cookie rassies et lait
calés. Un cookie rassie et 10 cl de lait périmé. Il garde les cookie frais et
le lait de poule pour lui le gros barbus.
⁃ -Et bien merci de nous avoir accorder cette interview
au revoir et bonne continuation.
Lorsqu'on pense au fête de fin d'année on pense tout de suite au
bonheur, a la famille,, au cadeau, aux excès, aux grand parents et les parents
qui s'engueulent autour d'une bouteille de champagne acheter exprès pour l'occasion.
Bref ce qui les fêtes ! Synonyme de bonheur, d'amour,
des licornes qui pètent des arc-en-ciel.
Cependant on pense rarement à ce qui permet cette
période de débauche. En effet lorsqu'on regarde nos cadeaux au pied du sapin,
on voit le présent que nos proches nous ont offert et non comment il a été
fabriqué. Parce que soyons honnêtes le mythe du père noël qui séquestre des
lutins pour qu'il fabrique nos joujoux: on ne peut plus y croire. Maintenant ce ne sont plus des lutins mais des petits asiatiques qui nous les fabriquent. Nous
pouvons donc nous demander si nous pouvons profiter de nos fêtes, de moments de
bonheur en famille alors qu'une bonne partie est créée sur le dos des autres
(ou sur le foie des canards)
Simone Weil a écrit un texte sur le fait de mettre a
part, parce qu'en fin de compte nos fêtes ne se résument qu'à cela. On met à part le fait que lorsqu'on fait griller des marrons sur le feu de bois, certains n'ont même pas de poêle. On met à part le fait que nos cadeaux ne sont pas faits par nos petits lutins adorés. Lors des ces fêtes on a tous décidé de mettre à part pour profiter de notre dinde grillée et de notre maison sentant le sapin.
Nous avons tous décider de faire semblant de ne pas savoir comment est fabriqué
noël car si nous décidions de faire le rapport entre notre sapin mort et la
déforestation on accepterait de faire les mauvaises choses durant les fêtes,
et donc notre sentiment de culpabilité gâcherait les pets de licornes. En
faisant la sourde oreille on profite de notre foie gras et de nos huîtres.
Et joyeux noël bien sur !
BRISTOU Nadège.
Quels sont les ressentiments au cours de la
période de noël ?
<<-Maman
! Maman ! MA-MAAAAAN ! J'ai envoyer ma liste au père noël ! Tu crois qu'il va
m'offrir tout ce que je lui ai demandé ?
-Sûrement
! Que lui as tu demandé mon chéri ?
-Bâ
… Je te le dis pas, c'est un secret avec le père noël ! >>
Le soir de noël :
<<OUIIIIII
! SUPER ! J'ai pleins de cadeaux !!! >>
5 minutes plus tard :
<<OUÏÏÏÏÏÏÏN
! Il n'y a aucun des cadeaux que j'ai commandé, un petit train, des légos, des
hotwills... je voulais pas ça moi ! Elles sont où mes barbies, ma cuisine et
mon aspirateur ? Maman, le père noël il m'en veut ?
-Mais
non mon chéri, il a du se tromper de maison...(au moins je sais ce que je lui
offrirais l'année prochaine).>>
Ce
dialogue souligne le thème de noël «joie, désirs, surprises et déceptions».
Approchant des fêtes de noël chacun se forge une idée sur le cadeau potentiel
qu'il pourrait avoir mais est-ce que cela ne serait pas à l'origine d'une
déception prochaine ? La déception de ne pas découvrir sous le sapin un cadeau
qui nous fait rêver, la déception de découvrir que nos proches ne nous
connaissent pas aussi bien que ce que l'on pensait...
Mais
noël est une fête familiale, son but est de faire passer à chacun un moment
agréable avec les personnes que l'on aime. Auparavant, noël n'était pas
synonyme de cadeau mais de bien-être, de nos jours cette fête est devenue
superficielle, elle à été dégradé par le temps et l'évolution de la culture
humaine. On est passé d'une vie simple à une vie remplie d'envies, de désirs
insignifiants. Aujourd'hui chacun
éprouve l'espoir de vivre un moment qu'ils se sont déjà imaginer auparavant. Le
ressentit de noël est toutefois différent selon les âges :
-Les
enfants qui croient encore au père noël et qui ne se méfient pas de leurs
parents leurs confient souvent quels sont les cadeaux dont ils rêvent et
lorsqu'ils se réveillent le matin de noël ils sont remplis de joie car ils sont
subjugués par la «magie de noël» et leur insouciance les bercent dans le
bonheur.
-Les
adolescents quant a eux sont souvent très exigeants, ils tentent de faire
comprendre ce qu'ils aimeraient avoir comme «surprises» et si ils ne
l'obtiennent pas ils sont comme n'importe quel adolescents, déçues. Déçu que
leurs proches n'ai pas compris ce qu'ils désiraient, déçu qu'ils n'aient de la
part de personne ce cadeau qui les faisaient tant rêver...
-Les
adultes ne s'étonnent jamais des biens qu'on leur offre mais ils sont satisfaits
de tout réveillon ou de tout jour de noël passer avec les personnes qu'ils
aiment car c'est ce qui devient le plus important puisque c'est quand nous
atteignons l'âge adulte que nous remarquons que nos proches sont rapidement
emmener par la mort donc on se rend compte qu'il faut profiter de chaque
instant que la vie nous offre a leur coté et noël fait partie de ces moments
importants.
De
plus le dialogue ci-dessus montre un préjugé que l'on peut observer à tout
moments. Les publicités que l'on observe à la télévision à l'approche des
fêtes. Pourquoi donc est-ce que les filles devraient avoir des barbies, des
cuisines en plastique, des ballets... et les garçons des voitures, des soldats
en plastiques, des fausses armes...? Les femmes en général n'aiment pas qu'on leur
offre des fers à repasser, des sèches linges, des ustensiles de cuisines, et
des machines à coudre, (sauf celles dont ces objets sont utiles à leurs
loisirs) mais depuis fort longtemps les femmes sont considérées comme assignées aux travaux ménager car les hommes
ont toujours eu un égo sur-dimensionner donc voir que quelqu'un nous offre
quelque chose en s'étant basé sur des préjugés peut nous blesser dans notre
estime.
En
conclusion noël est une fête importante car elle permet de mettre a part en s'épanouissant
au coté de nos proches elle peut être synonyme de joie comme de déception.
DEGEOIS Adaline..
Philomélo
Les Fables, une approche
philosophique
Mais d’où vient cette idée loufoque de culture animale ?!
La culture animale belle
est bien présente
Pourquoi l’Homme et l’animal sont-ils si intimement liés ?
« La Cigale et la Fourmi »
Nous allons aborder de façon philosophique la fable de
« La Cigale et la Fourmi » de Jean de La Fontaine. Dans cette fable on nous
raconte l'histoire d'une fourmi et d'une cigale lorsque l'hiver arrive.
Cette
fable nous propose deux conceptions du bonheur totalement différentes. L'une
est représentée par la cigale, elle incarne les personnes qui veulent vivre au
jour le jour sans se soucier de ce qu'il peut lui arriver demain. Elle profite
au maximum des moments comme le prouve le fait qu'elle chante et qu'elle pense
plus à s'amuser qu'autre chose. Elle joue un peu le rôle de l'enfant dans cette
fable car elle est soit disant inconsciente des conséquences de ses actes à
s'amuser tout le temps sans vouloir travailler. L'autre est représentée par la
fourmi. Celle ci est travailleuse et trouve son bonheur ainsi car elle aura de
quoi faire pour demain, elle ne sera jamais surprise de ce qui l'attend dans le
futur et elle anticipe le futur. Elle
incarne aussi le statut de la mère car elle est consciente de ce qu'elle fait,
elle planifie tout et de plus elle donne des leçons de morale à la cigale.
Dans cette fable on nous fait aussi une comparaison
entre la cigale et la fourmi. La première incarne la nature et l'autre la
culture. Car quand nous appartenons à la nature nous ne contrôlons pas nos
pulsions alors que quand nous somme dompter par la culture nous devons
contrôler nos pulsions afin d’essayer de combattre la nature. Donc la cigale
qui elle n'en fait qu'a sa tète représente bien l'esprit libre de la nature et
la fourmi, qui elle, passe ses besoins avant ses envies, représente l'esprit
stricte de la culture.
Cette fable nous impose en quelque sorte une conception du bonheur à
adopter. On nous montre que la fourmi, en travaillant, n'est pas forcement très
heureuse mais néanmoins elle est sur qu’elle n'aura pas de mauvaise surprise le
lendemain car elle a travaillé dure pour obtenir la sûreté. Alors que la
cigale, elle, accède au bonheur mais se met en danger. Comme toutes les deux
incarnent à chacune soit la culture soit la nature en quelque sorte, cette
fable nous dit que si on veut être en sécurité et peut être heureux, il vaut
mieux faire comme la fourmi et privilégier la culture au lieu de la nature.
Une culture animale ?
Mais quelle idée !
Les animaux n’ont qu’une seule et unique fonction .Ils sont créés pour
effectuer des tâches précises et parfaites et ne sont créés que pour cela.
Prenons ‘exemple des abeilles. Durant toute leur vie, elles sont programmées
pour effectuer leur rôle et rien d’autre tel que celui de créer des alvéoles
bien précises pour leurs ruches. Cela montre bien que c’est un acte inné,
instinctif, une science immédiate non acquise par l’apprentissage.
Je vois déjà les nouveaux philosophes et primatologues me dire qu’il est
évident que les chimpanzés ou toute autre sorte de primates aient eux aussi une
culture. Mais peut-on les considérer comme des animaux puisque nous en
descendons ? A quel moment peut-on dire que l’Homme quitte sa nature
animale pour créer une culture et devenir ce qu’il est aujourd’hui ?
Présence de la
Culture animale
L’Homme et l’animal sont deux espèces dotées de grandes capacités, d’un
instinct naturel et tout deux d’une culture comme peut le penser l’ethnologue
néerlandais Frans de Waal, spécialiste dans le comportement des primates. Cette
culture se retrouve chez l’Homme et chez l’animal et le fait que les animaux
transmettent de génération en génération des traditions, des savoir, des
techniques et des préférences est la preuve qu’ils possèdent une certaine
culture.
Les premiers à évoquer la culture animale sont les japonais car ils
estiment que l’animal et l’Homme sont au même niveau. On retrouve aussi cette
idée dans la religion orientale qui croit en la réincarnation de l’Homme en
animal.
L’Homme et
l’animal, des êtres liés
D’où vient cette proximité que l’on observe chaque jour
entre l’homme et l’animal ? L’Homme et l’animal, en particulier de
compagnie sont souvent très proche. Ils sont en contact permanant et restent
ensemble en général jusqu'à la mort de l’un ou de l’autre. Les autres animaux
eux restent quand même proche de l’Homme comme les chevaux ou autre qui sont
largement capable de reconnaitre leur « maitre » et de réagir en
fonction de cela. L’Homme est l’animal font preuve d’empathie l’un envers
l’autre comme l’exemple du chien qui sauve son maitre de la noyade. Ils sont
attachés. On remarque aussi ce principe d’empathie entre l’Homme et animal dans
la mythologie grecque avec Remus et Romulus recueillis et élevés par une louve
ou encore dans le mythe de « L’enfant
sauvage ».
animal qui refoule son instinct naturel grâce à la création d’une
nouvelle identité à l’aide de sa propre culture qu’il développera de sorte à ce
qu’elle soit différente de celle des animaux. Il prend notamment l’exemple de
l’amour chez l’homme qui ne serait que l’expression de l’instinct sexuel du
coté animal de l’homme.
L’Homme et l’animal sont aussi proches d’un point de
vue biologique. Il a été prouvé que le plus proche parent de l’homme serait le
chimpanzé et que l’homme descendrait de celui-ci avec certaines évolutions. Mais
a partir de quand pouvons nous dire que l’Homme n’est plus un animal ?
Peut être que l’homme n’est ni plus ni moins qu’un animal évolué. D’après Schopenhauer
l’Homme est un animal qui refoule son instinct naturel
grâce à la création d’une nouvelle identité à l’aide de sa propre culture qu’il
développera de sorte à ce qu’elle soit différente de celle des animaux. Il
prend notamment l’exemple de l’amour chez l’homme qui ne serait que
l’expression de l’instinct sexuel du coté animal de l’homme.
L’Homme garde un certain esprit animal, des réactions
animales comme la violence bien que celle-ci soit plus importante chez l’homme
que chez l’animal, et l’attraction sexuelle. Qu’est ce qui différencie vraiment
l’homme de l’animal ? On peut surement dire que les seules choses qui
puissent les différencier soient le langage, la religion et la culture humaine
qui contrairement à celle de l’animal est en désaccord avec la nature.
Pour lire les articles de l'équipe de rédaction du Journal Philosophique "Hope", cliquez sur le lien suivant:
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire