Les princes épousent-ils des bergères?
Lucas Aubin- Maël Glorieux - Lukas Pinto: oui
Andréa Mbembo - Inés Vincent: non
L’être humain est-il de trop?
Alice Putelat - Tom Boureau - Guliem Gjonaj: oui
Garance Letoublon - Léa Bogaert - Rayan Fenzi: non
Faut-il supprimer la notation au lycée?
Clélia Mauron - Colin Bosdure - Ambre Faivre: oui
Jessy Riduet - Côme Laligant - Chloé Caron: non
Peut-on trouver de bonnes raisons de tuer quelqu’un?
Mélyne Boubouleix - Léonie Bailly - Titouan Munière: oui
Elodie Gueurey- Basile Cuenin-Viverge - Elora Besson: non
Les réseaux sociaux sont-ils porteurs d’un progrès politique?
Jules Boillon - Ethan Dessauge - Mathilde Poncet: oui
Charlotte Aymard - Jeanne Colin- Lazare Gehin non
Le pire est-il à venir?
Manolo Bouras - Léana Leroy - Candice L’hostis: oui
Anatole Michon - Yanaëlle Mottey : non
Dans la joute oratoire, chacun des groupes utilisera ce plan. Il disposera avant la « confrontation (qui n’aura lieu que dans le troisième moment) du temps pour développer sa compréhension de la question et posément les trois arguments, au moins, qui ont été travaillés par les tenants du oui et du non. Il est vraiment essentiel que chacune et chacun comprenne que des références à des personnes ou des situations que vous avez connues ne peuvent EN AUCUNE MANIERE constituer des arguments valables. Des arguments sont des raisonnements compréhensibles par toutes et tous et pas du tout des expériences que seul.e.s celles et ceux qui les ont vécues pourraient comprendre.
- Comment nous avons compris le sujet
- Les trois arguments (au moins) que nous avons trouvés
- Discussion « frontale »
- Les références utilisées
- Pourquoi nous avons raison et les autres ont tort
- S’il n’y avait qu’un argument à donner, ce serait celui-là
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